Great Teacher Onizuka

Lebani · 50

Voici donc le manga de la semaine et la je dis bien le manga

histoire : Parmi la multitude de mangas actuellement disponibles en France, certains sont déjà des succès grâce à leur originalité, leur qualité et leur simplicité. C'est le cas du manga que j'ai décidé de vous présenter

Qui aurait pu imaginer qu’un shonen parlant de cours intéresserait la jeunesse ? Des professeurs, des élèves, des leçons, des devoirs, des punitions, des contrôles, ..., en fait tout ce que j'enterrerais bien dans mon jardin et que je n'ai sûrement pas envi de retrouver pour me détendre. Mais Toru Fujisawa l'a fait ! Il a crée l'unique enseignant qui arrive à motiver les éléves à ne sécher que l'école buissonnière. Son symbole s'incarne en la personne d'Onizuka, the great teacher d'où le nom du manga GTO.

Un bref résumé s'impose avant de passer aux impressions et aux sensations que dégage cette réforme de l'éducation nationale japonaise.

Onizuka est un bosozoku, un voyou chevauchant fièrement sa moto et symbolisant la peur dans la société. Sortant d'une université peu réputée, dit de troisième zone, notre héros cherche désespérément deux choses : un emploi et une petite amie. Par son niveau peu recommandable, son casier judiciaire et sa franchise, aucune entreprise n'ose l'embaucher et il n'a plus que pour solution de noyer son chagrin en mattant les petites culottes des lycéennes.
A cause d'un échec amoureux avec une lycéenne qui l'abandonna pour un vieux professeur, il se jura de devenir enseignant afin de pouvoir jouir des privilèges qui en décousent. Pour le reste de l'histoire, je vous laisse la découvrir par vous-même.

Bon, mon résumé se termine et ma critique proprement dite prend, dès les prochaines lignes, la suite.

L'humour omniprésent causé par l'inconscience de ce délinquant reconverti fait disparaître à coup sûr tous les tracas que le lecteur a emmagasinés dans sa terrible journée de cours ou de travail. A travers le rire, l'auteur nous transmet un message d’amour fraternel, quelque soit leurs différences les protagonistes s'unissent pour le seul plaisir d'être ensemble. Les frontiéres entre les classes sociales sont carrément dissoutes, Onizuka représentant de la débauche mais également de la justice, corrige les inégalités entre les élèves et les professeurs sans aucune distinction.
La bonne humeur, les problèmes toujours résolus, les relations entre les protagonistes et la vision non manichéenne de la vie rapportée par l'artiste nous obligent d'exiger à la fin de chaque tome le suivant.
Mais comme toutes les meilleures choses ont une fin, le vingt-cinquième volume, malvenu car scellant l'aventure, nous enseigne une valeur que beaucoup de mangas reprennent : ne pas s'attacher aux apparences, le plus mauvais des étudiants peu devenir le meilleur des professeurs.

Vous cherchez un manga magnifique en tout point ? GTO est là tout droit sorti de vos rèves pour vous divertir et vous reconcilier avec le système educatif.
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nike · 50

Le résumé est de toi fred? Parce que lorsqu'on en compare le style avec celui de tes autres posts (ceux qui ne parlent pas de mangas)... Ou alors parler de mangas fait fleurir ta verve et ta rhétorique?
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Loïc_da_winner · 50

put*** je me suis acheté le volume 1 cette série est vraiment excellente. C'est vraiment trop poilant. Un moment culte : quand Onizuka arrive chez des parents avec un immense marteau et qu'il dit "Je m'appelle Heykychi Onizuka, 22 ans, professeur stagiaire; je viens pour un rendez vous parents-prof".

Lebani · 50

tu verras loik ya bcp de moment culte dans ce manga tu seras pas decu
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nike · 50

Tu pourras m'le prêter Loïcounet?
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